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 Apparition à Fatima

L'ANGE PRÉCURSEUR

.

Image de l'AngeAlors âgée de 8 ans, la mère de Lucie lui confia la garde du troupeau. Comme tous les enfants, elle avait des petits camarades de son âge avec qui jouer, et elle s'était choisit pour amie 3 autres fillettes : Teresa Matias, sa sœur Maria Rosa et Maria Justino. C'est en leur compagnie que Lucie bénéficiera par trois fois, de l'apparition de l'Ange.

L'Apparition de 1915

Les trois fillettes avaient monté leurs troupeaux jusqu'à la cime de la colline où se trouvait un grand terrain planté d'arbres. Vers midi, elles mangèrent puis ensuite récitèrent le chapelet, comme il était coutume de le faire dans les campagnes portugaises de l'époque.

A peine ayant commencé leur récitation, les enfants virent comme suspendue en l'air au-dessus des arbres, une figure semblable à une statue de neige, que les rayons du soleil rendaient un peu transparentes. Tout en continuant le chapelet, les petites filles fixèrent les yeux sur cette figure, qui disparu dès qu'elles l'eurent terminé.

La nouvelle de cette première apparition se répandit au village, car les compagnes de Lucie la racontèrent aussitôt, mais personne n'y fit attention, disant que cela était des balivernes. Bien sur, les petites filles furent très réprimandées par leurs parents et même battues. Tout le village se moquait des fillettes.
Notons que les enfants ne dirent pas : « Nous avons vu un ange », mais : « Nous avons vu quelque chose » qu'elles ne savaient décrire, mais qui plus tard diront que « cette chose avait une forme humaine »
Cette « chose » donc, apparaîtra deux autres fois aux mêmes petits enfants ; mais quelle est la signification de telles apparitions si aucun message n'a été délivré aux fillettes ? Nous pouvons penser que Dieu voulait préparer Lucie aux Apparitions de la Très Sainte Vierge ; puisque des 3 enfants présents ici, c'est elle qui eut le privilège de voir Notre-Dame.

« Je suis l'Ange de la Paix »

Un an plus tard, au printemps 1916, l'Ange se manifesta de nouveau ; mais cette fois aux trois petits pastoureaux : Lucie, François et sa sœur Jacinthe ; ces deux derniers ayant eux aussi obtenu la permission de leurs parents pour garder leur troupeau. Dès lors, les 3 cousins étaient souvent réunis. Ce jour là, ils étaient monté sur le versant de la colline avec leurs brebis.
Jouant depuis un certain temps, voici qu'un vent assez fort secoua les arbres. Levant les yeux, les enfants virent au dessus des oliviers une chose d'une forme humaine s'approcher d'eux. Plus distinctement, cette fois on peut décrire que cette « chose » avait l'apparence d'un jeune garçon de 15 ans tout au plus, vêtu d'un blanc pur, que le soleil rendait transparent comme s'il était en cristal.

En arrivant près des trois enfants, l'Ange dit :
« Ne craignez pas !. Je suis l'Ange de la Paix. Priez pour moi ! »

Puis s'agenouillant à terre, il courba le front jusqu'au sol. Les enfants firent de même, et répétèrent les paroles qu'ils entendirent :

Mon Dieu,
je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime.
Je Vous demande pardon
pour ceux qui ne croient pas,
qui n'adorent pas,
qui n'espèrent pas,
et qui ne Vous aiment pas.

 

 

Il répéta trois fois cette prière puis il se releva en disant :

« Priez ainsi. Les Cœurs de Jésus et de Marie sont attentifs à la voix de vos supplications », puis il disparut.

Au début du siècle, la dévotion aux Saints Anges était très vivante au Portugal, et ce culte était loin d'être inconnu aux trois pastoureaux. Chaque matin et soir ils adressaient une prière à leur Ange Gardien :

« A la louange de notre Ange Gardien
qui nous garde nuit et jour,
qu'Il soit toujours en notre compagnie. »

François a été le seul à ne pas entendre les paroles de l'Ange, et il en sera de même pour toutes les apparitions ; cependant, il eut lui aussi le privilège de voir les présences divines.

« Je suis l'Ange du Portugal »

Cette seconde apparition s'est sans doute passé en été, car il y faisait très chaud. Les trois enfants revenaient avec le troupeau au milieu de la matinée, et étaient entrain de jouer près du puis, lorsqu'ils virent le même ange qui leur dit :

« Que faites-vous ? Priez, priez beaucoup ! Les Saints Cœurs de Jésus et de Marie ont sur vous des desseins de miséricorde. Offrez sans cesse au Très-Haut des prières et des sacrifices ».

Lucie demanda comment devaient-ils faire pour se sacrifier ; et l'ange lui répondit :

« De tout ce que vous pourrez, offrez à Dieu un sacrifice en acte de réparation pour les péchés par lesquels il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs.
De cette manière, vous attirerez la paix sur votre patrie. Je suis son Ange Gardien, l'Ange du Portugal.
Surtout, acceptez et supportez avec soumission les souffrances que le Seigneur vous enverra. »

Après l'Apparition, François demanda à sa cousine :
« Que t'as dit l'ange ? »
Étonnée, Lucie lui demanda s'il avait entendu le dialogue, mais le petit garçon lui dit :
« Non, j'ai vu qu'il te parlait et j'ai entendu ce que tu lui as répondu, mais je ne sais pas ce qu'il t'as dit ».

« L'Ange de l'Eucharistie »

À l'automne 1916, les pastoureaux faisaient paître leurs troupeaux. Après le repas, ils se mirent à prier là où précisément l'Ange leur était apparu la première fois.
Alors qu'ils récitaient la prière apprise par l'Ange (« Mon Dieu, je crois, j'adore... etc. »), le visage contre terre, une lumière apparut au dessus d'eux. Se relevant, les enfants virent de nouveau l'Ange qui cette fois tenait dans sa main gauche un calice, sur lequel était suspendue une Hostie de laquelle tombaient quelques gouttes de Sang dans ce calice.
Laissant le Calice et l'Hostie suspendus en l'air, l'Ange se prosterna près des enfants et répéta 3 fois cette prière :

Très Sainte Trinité,
Père, Fils et Saint-Esprit,
je Vous adore profondément
et je Vous offre le très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus-Christ
présent dans tous les tabernacles du monde,
en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences
par lesquels il est Lui-même offensé.
Par les mérites infinis de Son Très Saint-Cœur
et du Cœur Immaculé de Marie,
je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs.

l'Ange de l'Eucharistie (30 Ko)

Puis, se relevant, Il prit de nouveau le calice et l'Hostie dans ses mains, donna la sainte Communion à Lucie, et donna le Sang du calice à Jacinthe et à François, en disant :
« Prenez et buvez le Corps et le Sang de Jésus-Christ, horriblement outragé par les hommes ingrats. Réparez leurs crimes et consolez votre Dieu »
Il se prosterna une dernière fois avec les enfants et répéta à nouveau trois fois la prière de la Sainte Trinité, ci-dessus.

Les 3 petits voyants gardèrent le plus absolu silence sur les Apparitions de l'Ange. Pourquoi donc ?. Sœur Lucie le dit plus tard : « À cause de l'expérience pénible après l'Apparition de 1915 »


« Je suis du Ciel »

N.D. de FatimaPlusieurs mois après la dernière Apparition de l'Ange, les 3 enfants jouaient en haut de la pente de la Cova da Iria, à construire un mur autour d'un buisson, quand soudain ils virent comme un éclair. Pensant que l'orage ne tarderait pas à venir, ils décidèrent de rentrer à la maison.

Les petits descendirent donc la pente, poussant les brebis en direction de la route. Arrivés à la moitié de la pente, environ à la hauteur d'un grand chêne-vert qui se trouvait là, ils virent un autre éclair puis une Dame toute vêtue de blanc, et qui répandait la lumière autour d'Elle.

Surpris par cette Apparition, les enfants s'arrêtèrent à environ 1m50 de distance d'Elle. Alors la Dame dit:

- N'ayez pas peur, je ne vous ferai pas de mal.
- D'où venez-vous ?, demanda Lucie.
- Je suis du Ciel, répondit Notre-Dame.
- Et que voulez-vous de moi ?
- Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois de suite, le 13, à cette même heure. Ensuite, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. Après je reviendrai encore ici une septième fois.
- Et moi, est-ce que j'irai au Ciel aussi ?, dit l'enfant.
- Oui, tu iras.
- Et Jacinthe ?
- Aussi.
- Et François ?
- Aussi, mais il devra réciter beaucoup de chapelets.

Lucie demanda au sujet de deux jeunes filles mortes depuis peu: Maria, 16 ans, et Amélia, 19 ans, qui allaient chez elle apprendre à tisser :
- Est-ce que Maria est déjà au Ciel ?
- Oui, elle y est.
- Et Amélia ?
- Elle sera au Purgatoire jusqu'à la fin du monde.

Il semble que cette jeune fille est décédée dans des circonstances comportant un irrémédiable déshonneur en matière de chasteté.
- Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu'Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ?
- Oui, nous voulons.
- Vous aurez alors beaucoup à souffrir, mais la grâce de Dieu sera votre réconfort.

Pendant qu'Elle prononçait ces paroles, Notre-Dame ouvrit les mains et, comme par un reflet qui émanait d'Elles, une lumière intense s'en dégagea. Lucie dit plus tard que « cette lumière intense pénétra notre cœur jusqu'au plus profond de notre âme. Elle nous faisait nous voir nous-mêmes en Dieu, qui était la lumière, plus clairement que nous nous voyons dans le meilleur des miroirs ».

Les enfants se mirent à genoux en récitant intérieurement cette prière :

« Ô, Très Sainte Trinité, je Vous adore.
Mon Dieu, mon Dieu,
je Vous aime dans le Très Saint-Sacrement. »

Avant de partir, Notre-Dame ajouta :
- Récitez le chapelet tous les jours afin d'obtenir la paix pour le monde et la fin de la guerre.
- Quand arrivera la fin de la guerre ?
- Je ne peux le dire encore, tant que je ne t'ai pas dit aussi ce que je veux.

Après ces paroles, Elle s'éleva doucement, en direction du levant, jusqu'à disparaître dans le Ciel. La lumière qui l'environnait semblait lui ouvrir un chemin.
Cette première Apparition dura environ 10 minutes, et comme pour les Apparitions de l'Ange, François vit la Très Sainte Vierge mais n'entendit pas ses Paroles. Jacinthe, elle, voyait et entendait tout, mais n'osa pas parler à Notre-Dame. Seule Lucie eut le privilège de dialoguer avec Elle.

Jacinthe, oubliant sa promesse de ne rien dire à personne, en parla aussitôt à ses parents. Ces derniers interrogèrent le petit François qui confirma tout ce qu'avait raconté sa sœur. Cette révélation arriva aux oreilles de Maria, sœur de Lucie. Questionnée, la petite voyante, dut tout raconter pour ne pas mentir, et la nouvelle se sut dans tout le bourg. Ses parents ne croiront pas à ce qui se raconte, et Lucie se fera donc très sérieusement gronder ; ce qui explique que, plus tard, Jacinthe ne dira plus rien sur ce qu'elle verra.

L'information vint jusqu'aux oreilles du Curé-Prieur de Fatima, Dom Manœl Marquès Ferreira qui se montra assez perplexe et interrogea maladroitement les pastoureaux. Les petits enfants, impressionnés par l'attitude et le ton sévère du curé, ne gagnèrent pas sa confiance. Jacinthe observa même un mutisme total.

Offusqué, l'abbé durcit sa position et transmit le compte rendu de l'interrogatoire au Cardinal Belo, du diocèse de Fatima, qui suivit sa conclusion : « il faut se tenir résolument à l'écart de cela ». Dès lors, Dom Ferreira se conforme à cette directive, en se montrant très hostile aux événements de la Cova da Iria.

Le Cœur Immaculé
de Marie


Les enfants firent donc connaître les date des futures Apparitions de Notre-Dame et déjà, en ce 13 juin, des dizaines de personnes étaient rassemblées à la Cova da Iria, près du chêne-vert. La mère de Lucie préféra ne pas y aller à cause du remue-ménage que faisait cette affaire suite aux révélation des enfants.

Les personnes réunies récitèrent le chapelet, quand un éclair s'approcha d'eux. Notre-Dame, sur le chêne-vert apparut alors.

- Que veut Votre Grâce ?, dit Lucie.
- Je veux que vous veniez le 13 du mois prochain ; que vous disiez le chapelet tous les jours et que vous appreniez à lire. Ensuite, je vous dirai ce que je veux.
Lucie demanda la guérison d'un malade, ce en quoi Notre-Dame répondit :
- S'il se convertit, il sera guéri durant l'année.
- Je voudrais vous demander de nous emmener au Ciel, dit la petite fille.
- Oui, Jacinthe et François je les emmènerai bientôt, mais toi, tu resteras ici pendant un certain temps. Jésus veut se servir de toi afin de me faire connaître et aimer. Il veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. À qui embrassera cette dévotion, je promets le salut ; ces âmes seront chéries de Dieu, comme des fleurs placées par Moi pour orner Son trône.
Avec tristesse, la petite Lucie dit :
- Je vais rester toute seule ici ?
- Non, ma fille. Tu souffres beaucoup ?. Ne te décourage pas. Je ne t'abandonnerai jamais !. Mon Cœur Immaculé sera ton refuge et le chemin qui te conduira jusqu'à Dieu.

Puis la Vierge ouvrit les mains, faisant apparaître le reflet d'une lumière immense. En Elle, les enfants se virent comme submergés en Dieu. Jacinthe et François paraissaient être dans la partie de cette lumière qui s'élevait vers le ciel, et Lucie dans celle qui se répandait sur la terre.
Devant la paume de la main droite de Notre-Dame se trouvait un Cœur entouré d'épines qui semblaient s'y enfoncer : c'était le Cœur Immaculé de Marie, outragé par les péchés de l'humanité, qui demandait réparation.

N.D. de FatimaLa Vierge repartit. Les branches du chêne-vert qui s'étaient inclinées lorsque Notre-Dame apparue, se relevèrent et se tournent vers l'Est comme si elles étaient attirées par un fort vent.

Précision importante : Seuls les trois enfants ont vu et entendu Notre-Dame et ce reflet lumineux. Quelques autres personnes qui étaient là, à la Cova da Iria, disaient avoir entendu le son des réponses de la Vierge ; mais aucun des assistants ne virent ni le reflet lumineux, ni Notre-Dame.
Ceux qui étaient venu pour voir avaient tout de même des preuves de l'authenticité des dires des enfants :

1°) Au moment où les enfants virent Notre-Dame, tout le monde pu voir les petites branches du sommet de l'arbre, qui auparavant étaient droites, s'incliner comme si elles avaient été réellement foulées par quelqu'un ; et pendant toute l'Apparition, ces branches ployaient en rond de tous les côtés, comme si le poids de Notre-Dame avait réellement porté sur elles. De même, à la fin de l'Apparition, qui dura une dizaine de minutes, lorsque Notre-Dame partait, tous les rameaux se ramassèrent et s'infléchirent en direction de l'Est, comme si la Vierge avait laissé traîner sa robe sur la ramure.

2°) Tous purent également observer qu'il y eut, au moment du départ de Notre-Dame, comme un souffle d'une fusée d'artifice quand on l'entend monter au loin, puis un petit nuage qui s'élevait de l'arbre vers l'Orient, jusqu'à disparaître complètement.

Ces faits, que tous purent constater, ne peuvent provenir de l'imagination des enfants, ni être imputables à des phénomènes atmosphériques. C'était donc vrai ; les enfants disaient la vérité et ceux qui étaient là purent en juger, même s'ils espéraient en fait voir réellement la Sainte Vierge.
Aprè
s le départ de Notre-Dame, tout le monde récita les Litanies et chacun rentra plein d'allégresse et de ferveur à la maison, racontant ce qui s'était passé à la Cova da Iria.

LES APPARITIONS

Vendredi 13 juillet 1917

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Vision de l'enferLa vision de l'enfer

En ce 13 juillet 1917, quatre mille à cinq mille personnes s'étaient déplacées à la Cova da Iria. Tous récitaient le chapelet ; puis lorsqu'il fut terminé, Lucie regarda vers le Levant et dit : « Notre-Dame arrive ! »
La lumière du jour diminua, comme au moment d'une éclipse ; la température, qui était très chaude, diminua ; la teinte de la lumière se modifia, devenant jaune d'or. Il se forma alors, autour des trois petits voyants, une nuée blanchâtre très agréable à voir.

Quelques instants plus tard, la petite Jacinthe, voyant que sa cousine regardait la Notre-Dame sans oser lui parler, dit : « Parle-lui donc ! Tu vois bien qu'Elle est déjà là ! ». Lucie se décida donc :

« Que veut de moi Votre Grâce ? »
« Je veux que vous veniez ici le 13 du mois qui vient ; que vous continuiez à réciter le chapelet tous les jours en l'honneur de Notre-Dame du Rosaire, pour obtenir la paix du monde et la fin de la guerre, parce qu'Elle seule pourra vous secourir »
« Je voudrais Vous demander de nous dire qui Vous êtes, et de faire un miracle afin que tout le monde croit que Votre Grâce nous apparaît ».
« Continuez à venir ici tous les mois. En octobre, je vous dirai qui Je suis, ce que Je veux, et Je ferai un miracle que tous pourront voir pour croire.
Sacrifiez-vous pour les pécheurs, et dites souvent à Jésus, spécialement lorsque vous ferez un sacrifice :

"Ô Jésus,
c'est par amour pour Vous,
pour la conversion des pécheurs,
et en réparation pour les péchés commis
contre le Cœur Immaculé de Marie" »

Disant ces paroles, Elle ouvrit les mains. Le reflet de la lumière qui s'en dégageait parut pénétrer la terre. Les enfants virent alors comme un océan de feu, où étaient plongé les démons et les âmes des damnés. Celles-ci étaient comme des braises transparentes, noires ou presque, ayant formes humaines. Elles flottaient dans cet océans de fumée. Les cris et les gémissements de douleur et de désespoir horrifiaient et étaient effrayantes !
Les démons se distinguaient des âmes des damnés par des formes horribles et répugnantes d'animaux effrayants et inconnus, mais transparents comme de noirs charbons embrasés.

Effrayés, et comme pour demander secours, les enfants levèrent les yeux vers Notre-Dame qui dit :
« Vous avez vu l'enfer où vont les âmes des pauvres pécheurs. Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la dévotion de mon Cœur Immaculé. Si l'on fait ce que Je vais vous dire, beaucoup d'âmes se sauveront et l'on aura la paix.
La guerre va finir, mais si l'on ne cesse d'offenser Dieu, sous le règne de Pie XI commencera une pire encore. Quand vous verrez une nuit illuminée par une lumière inconnue, sachez que c'est le grand signe que Dieu vous donne qu'Il va punir le monde de ses crimes, par le moyen de la guerre, de la famine et des persécutions contre l'Eglise et le Saint-Père.
Pour empêcher cela, je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis du mois. Si l'on écoute mes demandes, la Russie se convertira et l'on aura la paix ; sinon, elle répandra ses erreurs à travers le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l'Eglise. Les bons seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, plusieurs nations seront anéanties. À la fin mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie qui se convertira, et il sera donné au monde un certain temps de paix. Au Portugal, se conservera toujours le dogme de la foi, etc.
Cela, ne le dites à personne, sauf à François ».

La phrase : « Au Portugal, se conservera toujours le dogme de la foi, etc. » concerne le troisième secret. La locution adverbiale « etc. » a été volontairement écrite par Sœur Lucie dans ses mémoires car elle-même ne pouvait dévoiler ce message qui aurait du être dévoilé au monde, par le Vatican, en 1960 ; et bien que le Saint-Siège ait publié en l'an 2000 un message, la demande de Notre-Dame reste à ce jour toujours à accomplir.

Notre-Dame ajouta : « Quand vous réciterez le chapelet , dites après chaque Mystères :

Supplication pour le salut des ames

"Ô mon Jésus,
Pardonnez-nous,
Sauvez-nous du feu de l'enfer,
Attirez au Ciel toutes les âmes,
surtout celles qui en ont le plus besoin." »

Voilà ce qu'avait dit ce 13 juillet 1917 Notre-Dame, à la Cova da Iria. Après un instant de silence, Elle s'éleva en direction du Levant. On entendit à cet instant comme un grand coup de tonnerre, avec un fort vent. Lucie dit :
« Elle s'en va !... Elle s'en va ! », puis Elle disparut.

Durant tout ce mois, les trois enfants ne cessèrent de penser à la vision de l'enfer ; surtout la petite Jacinthe, dont le caractère s'en trouva même changé. Toutes les pénitences et mortifications lui semblaient être insuffisantes pour arriver à préserver quelques âmes de l'enfer.

Les enfants
     en prison !

Non loin du lieu des événements se trouvait un homme très anticlérical. Il était administrateur du canton de Vila Nova de Ourem, dont dépendait la ville de Fatima. Ferblantier de métier, Artur de Oliveira Santos, ne brillait pas par sa culture. Très jeune, il s'intéressa à la politique et avait créé un petit journal local : « la voix de Ourem », avant de prendre en main l'affaire familiale : « la ferblanterie du progrès », héritée de son père.

Membre d'une Loge maçonnique, il cumula trois mandats (administrateur du canton, Président de la Chambre municipale, et Substitut du Juge cantonal) et était, à ce titre, la personnalité la plus redoutée du canton.
Suite à l'enthousiasme de la foule et à l'annonce du grand secret promis par Notre-Dame, la presse et le pouvoir politique, dont Oliveira Santos était le représentant dans le canton, ne pouvaient rester indifférents à cette affaire. Quelles explications donnerait-il à ses compagnons de la Loge si le territoire dont il est l'administrateur devenait le berceau de ce que la franc maçonnerie cherche à détruire par tous les moyens: la religion catholique. Il fallait donc absolument accabler la Sainte Vierge comme, 1884 ans plus tôt, les membres du Sanhédrin, à Jérusalem, le firent pour Son Divin Fils : « Que faisons-nous, car cet homme opère beaucoup de miracles? Si nous le laissons faire, tous croiront en lui » (Jean XI-47,48).

Le 10 août, Manuel Marto et Antonio dos Santos reçurent l'ordre de se présenter le lendemain à midi, avec leurs enfants, devant l'administrateur à Vila Nova, ville située à 15 kilomètres de Fatima. Le seul moyen pour y aller était la marche à pied ou à dos d'âne. Aussi, le père de François et jacinthe décida d'y aller seul pour ne pas imposer une si longue marche aux enfants, alors que le père de Lucie emmena sa fille sur une bourrique (elle en tomba trois fois).

L'administrateur ne savait pas qu'il y avait trois voyants mais un seul. Il demanda pour « le petit », mais apprenant qu'il s'agissait en fait de trois enfants, il se fâcha et réprimanda Monsieur Marto.
Il interrogea Lucie afin de lui faire dire le secret et lui promettre de ne jamais plus retourner à la Cova da Iria, mais la fillette resta muette. L'administrateur menaça alors Lucie, en lui disant qu'il lui ferait avouer le secret, même s'il fallait la tuer pour cela.

La franc-maçonnerie avait donné des ordres pour liquider au plus vite l'affaire de Fatima. Aussi, le 13 août vers 9h00, arrivèrent plusieurs hommes chez la famille Marto et, parmi eux, le ferblantier qui prétendit être là pour pouvoir, lui aussi, voir le miracle. Il demanda nerveusement pour les enfants afin, disait-il, de les emmener en voiture à cheval sur le lieu des apparitions. Sur ces faits, les petits pastoureaux arrivèrent des champs, mais n'arriva pas à ses fins. Alors, il rusa de nouveau et proposa d'aller chez le curé en compagnie des parents, afin d'interroger les enfants. Ils arrivèrent à l'église et à la demande de l'administrateur, l'abbé Ferreira posa des tas de questions aux voyants. À la fin de cette rencontre, l'administrateur obligea les petits à monter dans la voiture. François se mit en avant, et les deux fillettes à l'arrière. Le cheval pris la direction de la Cova da Iria mais, en arrivant sur la route, il changea brusquement de direction vers Vila Nova de Ourem.

Une heure à une heure et demi après, le ferblantier arrivait triomphalement chez lui avec les trois enfants et les enferma dans une chambre en leur disant qu'ils n'en ressortiront qu'après avoir révélé le secret. Sa femme les traita avec bonté et les laissa jouer avec ses propres enfants, se montrant bonne jusqu'au bout avec les innocents petits prisonniers de son terrible mari. De fatigants interrogatoires commencèrent dès le lendemain au bureau du ferblantier, mais sans résultat. C'est alors qu'on les mit dans la prison publique, afin de les obliger à dire publiquement que tout cela n'était que mensonges ! ; mais face au mutisme des enfants et au début de révolte de la foule qui ne comprenait pas pourquoi les petits voyants étaient en prison, les autorités décidèrent de les libérer. Le 15 août donc, l'administrateur jugeant la partie définitivement perdue, mettait les enfants dans sa voiture à cheval, et les déposait de nouveau sur le perron de l'habitation du Curé de Fatima. (Artur de Oliveira Santos est décédé à Lisbonne en 1955, sans avoir donné le moindre signe de repentir).

Néanmoins, le 13 août, à la Cova da Iria, Notre-Dame était venue. Il y avait là dix-huit mille personnes. Un tonnerre se fit entendre, puis le reflet d'une lumière apparut, et aussitôt la foule vit un petit nuage qui plana quelques instants au-dessus du chêne-vert, puis il s'éleva vers le ciel et disparut. Alors apparut un arc en ciel à hauteur d'homme, colorisant toute la nature de belles couleurs. Notre-Dame était donc, visiblement, bien venue ce 13 août 1917.

Lorsqu'ils eurent retrouvé leur liberté, les trois pastoureaux allèrent sur le lieu des apparitions. Ils récitèrent le chapelet en action de grâces devant l'arbuste dont les pelerins avaient arraché toutes les feuilles du sommet et coupé des branches qu'ils emportaient comme reliques.
La nouvelle du retour des enfants après leur emprisonnement fût une grande joie pour leurs parents, ainsi qu'à beaucoup d'autres personnes convaincues de la réalité des faits surnaturels.

La mère de Lucie se faisait malgré tout assez de souci. Sans l'avoir voulut, elle était devenue la dépositaire des offrandes que les pélerins avaient laissé sur une petite table ornée de fleurs, qu'elle avait placé devant le chêne.
En ce 13 août, où beaucoup de gens laissèrent des offrandes, la pauvre femme ne savait que faire de cet argent. Elle voulut alors le confier à une personne sûre, mais ni les parents de Jacinthe et François, ni le curé de la paroisse de Fatima ne l'acceptèrent. Ce dernier lui conseilla cependant de garder cet argent chez elle. Un jour, quatre hommes se présentèrent et lui demandèrent l'argent pour construire une chapelle, prétendaient-ils. Maria dos Santos, très méfiante, refusa. C'est alors qu'elle prit la résolution de se débarrasser de cette lourde charge ; mais comment faire ? Elle eut l'idée de dire à sa fille Lucie d'interroger Notre-Dame pour savoir ce qu'Elle voulait que l'on fasse de l'argent. Lucie promis de lui demander cela lors d'une prochaine apparition de Notre-Dame.

 

Annonce du miracle

Valinhos : le monumentEn ce dimanche ensoleillé, Lucie et François et son frère Jean, partirent pour faire paître leurs troupeaux. Sur le chemin des Valinhos (les vallons), Lucie sentit quelque chose de surnaturel s'approcher. Soupçonnant que Notre-Dame allait apparaître, Jean alla chercher en hâte sa sœur Jacinthe.

Effectivement, Notre-Dame apparut dans un reflet de lumière, mais attendit la petite Jacinthe avant de se montrer au dessus du chêne-vert. Alors Notre-Dame dit :
- « Je veux que vous continuiez d'aller à la Cova da Iria le 13, et que vous continuiez à réciter le chapelet tous les jours. Le dernier mois, je ferai le miracle afin que tous croient. S'ils ne vous avaient pas emprisonnés en ville, le miracle aurait été plus connu. Saint Joseph viendra avec l'Enfant-Jésus pour donner la paix au monde. Notre Seigneur viendra bénir le peuple. Viendra aussi Notre-Dame du Rosaire et Notre Dame des Douleurs. »

Lucie demanda quoi faire de tout l'argent que laissaient les gens au pied du chêne-vert à la Cova da Iria.
- « Je veux que l'on fasse deux brancards de procession. Tu porteras l'un avec Jacinthe et et deux autres petites filles habillées de blanc. L'autre, François le portera avec trois autres garçons comme lui, vêtus d'une aube blanche. Ce sera pour la fête de Notre-Dame du Rosaire. »
- « Je voudrais vous demander la guérison de quelques malades », demanda Lucie.
- « Oui, j'en guérirai certains dans l'année ; puis, prenant un air triste, elle ajouta : « Priez, priez beaucoup et faîtes des sacrifices pour les pécheurs, car beaucoup d'âme vont en enfer parce qu'elles n'ont personne qui se sacrifie et prie pour elles. »
Alors, Elle s'éleva en direction du levant.

On peut donc affirmer avec une grande certitude que le salut des âmes qui sont en purgatoire dépend de nos prières et de nos sacrifices. Le pape Pie XII, dit dans son encyclique Mystici Corporis : « Le salut de beaucoup dépend des prières et des pénitences volontaires des membres du Corps du Christ ».
C'est une vérité absolue : beaucoup d'âmes vont en enfer parce qu'elles n'ont personne qui prie ni se sacrifie pour elles !.


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Annonce de la bénédiction du monde

Benediction du mondeCe jour là sont rassemblés à la Cova da Iria, entre 25 000 et 30 000 personnes, afin de voir la sainte Apparition. La foule récite le chapelet.
A midi, heure solaire, certains virent quelque chose dans ce ciel bleu sans nuage : un globe lumineux, se déplaçant du Levant vers le couchant, et glissant lentement dans l'espace ; puis il disparut quelques secondes. De nouveau, il réapparut et cette fois il se dirigea vers le chêne-vert. La lumière du jour diminua à cet instant.

Notre-Dame, répondant à Lucie, dit :

« Continuez à dire le chapelet afin d'obtenir la fin de la guerre. En octobre, Notre Seigneur viendra, ainsi que Notre-Dame des Douleurs, Notre-Dame du Carmel et saint Joseph avec l'Enfant-Jésus ; Il bénira le monde. »

Pour la conversion des pécheurs, les petits pastoureaux s'étaient mis une corde autour des reins, qu'ils portaient jour et nuit, ce qui les faisaient souffrir, mais Notre-Dame leur dit :

« Dieu est satisfait de vos sacrifices, mais il ne veut pas que vous dormiez avec la corde. Portez-la seulement pendant le jour. »

A une demande de guérison pour une petite fille sourde et muette, Notre-Dame répondit :
« D'ici un an, elle se trouvera mieux. »
Puis, à d'autres demandes Elle dit :
« Je guérirai les uns, mais les autres non, parce que Notre Seigneur ne se fie pas à eux. »

Ces dernières paroles de Notre-Dame sont d'une extrême importance : elles prouvent qu'il ne suffit pas de penser à Dieu uniquement qu'en on en a besoin. Bien souvent l'humanité demande les grâces du ciel en dernier ressort ; quand toutes les voies terrestres ont été épuisées, alors on se souvient que nous avons besoin de Dieu ; un peu comme on a besoin des pompiers pour éteindre un incendie... Hors, la Très Sainte Vierge donne ici un éclaircissement de taille : il faut obtenir la confiance du Seigneur et donc prier... toujours prier. Cela implique qu'il faut le faire autant dans les bons moments que Dieu nous donne, que dans les épreuves.

Notre-Dame demanda ensuite des brancards de procession afin de les porter pour la fête de Notre-Dame du Rosaire.

Lucie lui proposa d'accepter deux lettres et un petit flacon d'eau de senteur qui lui avaient été donnés par un homme d'une paroisse voisine, mais Notre-Dame répondit :
« Cela ne convient pas pour le Ciel.
En octobre, je ferai le miracle, pour que tous croient »

Alors Elle commença à s'élever et disparut comme les fois précédentes.

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La foule a la Cova da IriaCe 13 octobre, malgré la pluie, la foule était au nombre de 50 000 à 60 000 personnes !. Certains étaient venu de très loin pour assister à l'Apparition promise. Parmi cette masse, des incroyants étaient eux aussi là, prêt à intervenir dans le cas où il ne se passerait pas le miracle annoncé par Notre-Dame, les mois précédents.

Pour la première fois, la mère de Lucie pensa au drame qui pourrait survenir si le miracle du Ciel ne se produirait pas !, tandis que les parents de François et de Jacinthe, eux, avaient une grande confiance sur les promesses de la Sainte Vierge ; quant aux enfants, ils ne se troublaient pas du tout devant une si imposante foule.

Pour réciter le chapelet la foule ferma les parapluies, bien qu'il pleuvait assez à cet instant, et, dans la boue, les fidèles s'agenouillèrent.
Il était déjà 13h30 et certains incroyants commençaient à exciter les gens à cause que le miracle était annoncé pour midi. Pourtant, la Sainte Vierge était à l'heure ! En effet, le gouvernement de l'époque, en pleine première guerre mondiale, avait imposé au pays une heure légale qui avançait de 90 minutes sur l'heure solaire ; mais le Ciel n'a que faire de l'heure des hommes !... à l'heure du soleil il était bien midi et, regardant du côté du Levant, la petite Lucie vit la lumière qui précède chaque Apparition ; et, en effet, Notre-Dame apparut du dessus du chêne-vert. S'adressant à Lucie, Elle lui dit :

« Je veux te dire que l'on fasse ici une chapelle en mon honneur. Je suis Notre-Dame du Rosaire. Que l'on continue toujours à réciter le chapelet tous les jours. La guerre va finir et les militaires rentreront bientôt chez eux. »
Là encore, de nombreuses demandes de guérison étaient demandé à Notre-Dame.
« Les uns guérirons, les autres non, car il faut qu'ils se corrigent, qu'ils demandent pardon de leurs péchés. Il faut cesser d'offenser davantage Dieu Notre Seigneur, car Il est déjà trop offensé », dit Notre-Dame.

Pendant qu'Elle s'entretenait avec la petite voyante, la foule vit par trois fois se former autour du chêne une nuée, qui, ensuite, s'éleva dans l'air pour finalement disparaître.

Pendant le miracle
La foule observant le miracle du soleil

Pendant que Notre-Dame s'élevait, le reflet de la lumière qui se dégageait d'Elle se projeta sur le soleil. C'est à ce moment qu'une bonne partie de la foule put contempler la danse du soleil : la pluie cessa soudainement et les nuages se dispersèrent brusquement, laissant apparaître un ciel clair. La foule put alors regarder directement le soleil sans risque de se brûler les yeux ni sans être aucunement incommodé. Il y avait un grand silence. L'astre se mit à trembler avec des mouvements brusques, puis il tourna sur lui-même à une vitesse vertigineuse, en lançant des gerbes de lumière de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Il semblait s'approcher de la terre, au point que la foule s'en inquiéta. En effet, le soleil, conservant son mouvement rapide de rotation, paraissait brusquement se détacher du ciel et avancer en zigzaguant sur la foule. Ce fut un instant si terrible que plusieurs personnes s'évanouirent, mais finalement il s'arrêta au grand soulagement de tous.
À la stupéfaction générale, la foule put constater que leurs vêtements, trempés par la pluie quelques minutes auparavant, étaient complètement secs !. Cette danse du soleil put être observé jusqu'à plusieurs kilomètres de Fatima.

Pendant les dix minutes où la foule contemplait ce miracle cosmique, les trois petits voyants purent admirer, en plein ciel, trois tableaux successifs :

LA VISION DE LA SAINTE FAMILLE : À coté du soleil apparut saint Joseph avec l'Enfant-Jésus et Notre-Dame, vêtue de blanc avec un manteau bleu. Saint Joseph et l'Enfant-Jésus semblait bénir le monde, avec des gestes qu'ils faisaient de la main, en forme de Croix.
LA VISION DE NOTRE-DAME DES DOULEURS : Après la première vision ci-dessus, les enfants virent Notre Seigneur Jésus-Christ et Notre-Dame des 7 Douleurs. Notre Seigneur semblait bénir le monde.
LA VISION DE NOTRE-DAME DU MONT-CARMEL : dans cette dernière vision, Notre-Dame apparut seule sous l'aspect de Notre-Dame du Carmel.

Ce fut la dernière fois que Notre-Dame apparut à la Cova da Iria, laissant les preuves irréfutables de Son existence. Bien sur, cet événement parut dans la presse.

Les apparitions les plus connu :



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