Nous sommes passés du scepticisme des hommes à une découverte
blasphématoire totale vis à vis de cette preuve d'amour de notre Seigneur
Jésus-Christ.
Pourquoi l'homme est si peu croyant ? Ou ne veut croire que ce qu'il voit et qui
se rattache à la terre, alors que croire en Dieu et ses bienfaits, c'est croire
en quelque chose totalement indépendant de la terre, c'est l'amour DIVIN, sans
reproche, sans défauts.
Quand l'homme croit connaître tout sur le seigneur, il n'en connaît qu'une
infinie partie plus petite qu'un grain de poussière.
Ne croyez pas ce que vous voyez, croyez en la foi de Dieu.
L'article suivant est à lire sans y croire parce que, ce n'est pas
possible, Dieu ne laissera jamais l'homme faire une telle bêtise.
Lisez attentivement.
Cloner le Christ ?
, c’est le titre du nouveau livre de Didier Cauwelaert, paru chez Albin Michel,
et qui fait déjà couler beaucoup d’encre.
Mais rien à voir avec un roman, puisque le célèbre écrivain
– prix Goncourt 1994- a troqué sa plume de romancier contre la loupe de
Sherlock Holmes, pour mener une enquête serrée afin de déterminer s’il est ou
non raisonnable, en ce début du XXI ° siècle, d’imaginer que le clonage du
Christ – autrement dit sa reproduction ou sa « résurrection » à
partir d’une de ses cellules- est envisageable.
HYPOTHESE
Eh bien,
pour Didier van Cauwelaert ? une telle hypothèse n’est pas à
écarter ! Et ce, grâce aux trésors génétiques recélés par le saint suaire,
ce tissu de lin jauni de 4,36
m par 1,10m, dans lequel aurait été enseveli Jésus de
Nazareth, cette relique sacrée sur laquelle son visage apparaît.
Linceul
authentique ou mystification venue du Moyen Âge ? Les méthodes modernes
d’investigation permettent dorénavant d’en dire un peu plus. Par quel
miracle ?
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D’abord parce que les tissus qui auraient été au contact du
Christ deviennent de vraies pièces, à conviction, grâce à… L’ADN, de la mémoire
génétique contenue dans les traces d’hémoglobine présentes sur le suaire !
Ces traces
de sang, sont incontestées depuis 1978, année où le pape Jean-Paul I à autorisé
un groupe de chercheurs américains à percer les mystères du saint suaire, en
accord avec Humbert de Savoie, son propriétaire d’alors.
Et d’en
arriver à ces concluions : un homme flagellé, couronné d’épines, crucifié
et percé au côté d’un coup de lance, a bien été enseveli une trentaine d’heures
dans ce drap ! Quant à l’époque de cette crucifixion, elle est précisée
par la nature des pollens retrouvés, dans les trames du lin. En effet, on y a
découvert la présence d’une sorte de ronce, Akuvit
hagalgal, ne poussant que sur les collines de Judée, à partir de laquelle, disent
|
Les Ecritures,
aurait été tressée la couronne d’épines dont le Christ était coiffé. Reste,
cependant, un mystère sur lequel les chercheurs américains du STURP
(Shroud of Turin Research Project)
butent : impossible d’expliquer l’impression, comme s’il s’agissait d’un
négatif du visage du Christ sur le tissu. Quoi qu’il en soit, il s’agit bien de
sang du groupe AB+, partagé par seulement 5% de la population mondiale,
révélant, à l’examen, des globules rouges et blancs dans un incroyable état de
conservation. Un état de conservation suffisant pour envisager un
clonage ??
DATATION
Voilà une perspective hautement improbable
pour le Pr. Axel Kahn. Selon le directeur de l’institut Cochin de génétique moléculaire,
un ADN de 2000 ans serait beaucoup trop dégradé pour permettre un clonage.
Ce n’est pas l’avis du généticien français Gérard Lucote,
qui s’appelle prêtre à publier les résultats de ses recherches.
Pour ce
scientifique, les performances de la génétique moléculaire son aujourd’hui
extraordinaires. Elles permettent des techniques de reconstitution, de telle
sorte qu’à partir de traces, d’ADN même très fragmenté, on peut arriver a
reconstituer un ADN presque entier. Autant d’arguments qui ne balayeront pas
forcément tous les doutes. Des doutes notamment étayés par la datation, à la
demande de l’Eglise, de la tunique au carbone 14 par trois grands laboratoires.
Résultat des analyses :
L’âge du suaire se
situerait entre 1260 et 1390. Ce serait donc une mystification !
Mais les résultats des analyses
ne sont pas si sûrs, que ça
car livrée au carbone 14 ? Une coquille fraîche
d’escargot à été datée à
24 000 ans…
Cette découverte restera un mystère, a suivre…
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